Le policier se tue en prison
Le policier se tue en prison
Luc M., incarcéré à Saint-Gilles pour abus sexuels sur mineures, s’est donné la mort dans sa cellule
SAINT-GILLES Luc M., ce policier bruxellois de 48 ans incarcéré depuis tout juste un an, avait déjà tenté de se donner la mort lorsqu’il était détenu à la prison de Forest. Transféré à Saint-Gilles, c’est là qu’il y est parvenu la semaine dernière à l’aide d’un sous-vêtement avec lequel il s’est pendu. Lorsque les gardiens l’ont retrouvé dans sa cellule, il était hélas trop tard.
Le détenu avait déjà fait une tentative de suicide à Forest donc, suite à la présence, à l’époque, de policiers venus remplacer les gardiens en grève. Ces policiers, anciens collègues, l’auraient insulté et le détenu aurait ainsi craqué.
Cette fois, aucun lien n’est établi entre la présence la semaine dernière de policiers à Saint-Gilles, venus aussi remplacer les gardiens en grève, et le geste dramatique du détenu.
L’homme était plutôt dépressif. Il était placé sous mandat d’arrêt pour viols sur deux jeunes filles de 17 et 19 ans. Cette dernière était mineure à l’époque des faits qui ont duré plusieurs années.
Avant même son arrestation, Luc M. avait déjà tenté de se suicider lorsque ces victimes ont décidé de sortir de leur silence et de porter plainte contre lui. Le policier qui avait en charge la proximité dans le bas de Saint-Gilles avait alors été retrouvé via un avis de disparition inquiétante lancé par la police.
C’est mercredi dernier que le détenu serait passé à l’acte sans rater son coup cette fois.
Les gardiens qui l’ont retrouvé mort la semaine dernière dans sa cellule ont été suivis par le stress team chargé d’apporter un soutien psychologique au personnel pénitentiaire dans ce genre de situation dramatique qui n’est, hélas, pas rare en prison.
Le détenu avait déjà fait une tentative de suicide à Forest donc, suite à la présence, à l’époque, de policiers venus remplacer les gardiens en grève. Ces policiers, anciens collègues, l’auraient insulté et le détenu aurait ainsi craqué.
Cette fois, aucun lien n’est établi entre la présence la semaine dernière de policiers à Saint-Gilles, venus aussi remplacer les gardiens en grève, et le geste dramatique du détenu.
L’homme était plutôt dépressif. Il était placé sous mandat d’arrêt pour viols sur deux jeunes filles de 17 et 19 ans. Cette dernière était mineure à l’époque des faits qui ont duré plusieurs années.
Avant même son arrestation, Luc M. avait déjà tenté de se suicider lorsque ces victimes ont décidé de sortir de leur silence et de porter plainte contre lui. Le policier qui avait en charge la proximité dans le bas de Saint-Gilles avait alors été retrouvé via un avis de disparition inquiétante lancé par la police.
C’est mercredi dernier que le détenu serait passé à l’acte sans rater son coup cette fois.
Les gardiens qui l’ont retrouvé mort la semaine dernière dans sa cellule ont été suivis par le stress team chargé d’apporter un soutien psychologique au personnel pénitentiaire dans ce genre de situation dramatique qui n’est, hélas, pas rare en prison.
dina- Messages : 94
Date d'inscription : 12/04/2010
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